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auteur: humeurs humeurs hypnose ericksonienne : outil de psy non classé psy…assistante maternelle psy…tout court commentaires récents yannk dans « j’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé »(voltaire) … sab dans « la surdouance », le cadeau du diable ? pume dans le dernier cri … l'échappée belle dans le dernier cri … pume dans « la surdouance », le cadeau du diable ? vous devez être connecté à votre compte pour me contacter la génération « boomerang » 11 novembre, 2012, 11:34 classé dans : humeurs après la « génération tanguy », et cette jeunesse qui ne peut se résoudre à abandonner le confort moral et matériel du cocon familial, est apparu un nouveau phénomène celui d’un nombre croissant de 18-35 ans qui opèrent un retour au « bercail » après une période d’autonomie : la « génération boomerang » . une situation compliquée à gérer, aussi bien pour celui qui revient que pour les parents . je me rappelle très bien de mon premier boulot …premier salaire, premier chéquier, premier appartement, première facture de téléphone, premières démarches administratives, premières angoisses de fin de mois, premières ivresses de « liberté ». j’avais décidé d’interrompre des études que je n’avais pas choisi pour vivre ma vie et pour cela pas d’autre solution que de m’occuper toute seule de moi. j’avais une vingtaine d’année aucune expérience de la vraie vie, aucune maturité, mais j’ai vite appris à aller de l’avant et n’ai pas eu besoin de revenir sur mes pas, ce que j’aurais mal vécu … ce que je vis plus ou moins bien aujourd’hui, c’est le retour de ma fille à la maison . j’ai arrêté de travailler dix ans pour m’occuper de mes enfants, même si à les entendre, ils n’en demandaient pas tant , au bénéfice d’une meilleure qualité de vie . je ne regrette pas ce choix, même si parfois il m’est apparu un peu pesant . mère et femme au foyer à la …campagne, peut être que moi non plus je n’en demandais pas tant, le même choix en moyenne agglomération voilà qui aurait été parfait pour tous . mis à part cela, je crois que ce fut un bon choix . enfin, je crois . a ce rythme, les enfants ont été longtemps dépendant de nous, ne serait ce qu’au niveau de leurs déplacements . quand ils ont connu l’autonomie en devenant étudiant, les deux ont d’abord choisi l’éloignement géographique pour finir l’un et l’autre par réagir différemment . ma fille, n’a pas réussi à prendre son envol, alors que mon fils, lui, a commencé à dévorer la vie à pleine dent, même s’il apprécie de rentrer au nid régulièrement . ma fille a bien essayé de faire tout comme une grande, ce qui s’est révélé trop difficile à en voir le résultat . ce qui rend la situation compliquée c’est d’avoir à se demander, à coté de quoi on est passé pour ce ça se passe mal ? quelles sont donc ces armes qu’on ne lui aurait pas donné ? bref de se sentir une part de responsabilité et de culpabilité. et puis au risque de paraître égoïste, je m’étais bien habituée, moi, à notre rythme de vie à deux, une personne de plus c’est plus de contraintes et d’efforts de conciliations . cela fait maintenant 15 jours que notre poussin est de retour au nid, après avoir monté son bureau, déballé et installé son pc …plus rien . les cartons n’ont pas bougé de la chambre de son frère ou ils ont été stockés en arrivant pour plus de facilités et quand je parle de faire quelque chose, j’entends qu’il n’y a pas le feu ! et j’entends aussi mes grincements de dents…ben voilà , nous sommes en plein dedans … 0 commentaires -- le dire … avec ou sans fleurs 10 novembre, 2012, 12:25 classé dans : humeurs a mon mari qui me faisait remarquer dernièrement sur un ton de reproche que je n’avais pas vraiment l’air épanoui …j’ai fait la liste suivante : une chance sur dix d’être victime d’un cancer du sein et en attendant : les bouffées de chaleur, la fatigue, les sautes d’humeur, les maux de tête, les insomnies, les 40 heures par semaine d’activité professionnelle , auxquelles s’ajoutent, les corvées domestiques, le ménage, les courses, la bouffe, les soucis avec les enfants, les parents vieillissants, les copains en galère, la morosité ambiante … je ne suis pas déprimée, je me cramponne, je fais confiance en mes ressources et je franchirais ce cap, comme j’en ai franchi d’autres, mais en attendant j’aimerais un peu d’indulgence, bordel ! de tendresse, de compréhension et surtout plus de commentaires ! le lendemain j’avais un gros bouquet de fleurs ! comme quoi un petit coup de gueule de temps en temps peut avoir son utilité pour remettre les pendules à l’heure … :-; 0 commentaires -- petite leçon de sagesse… 17 octobre, 2012, 11:10 classé dans : non classé cela ne s’entend pas à travers mon post, mais je suis aphone, sans voix depuis deux jours . avant d’être confrontée à cette expérience, je me serais définie comme plutôt bavarde et après un moment de stress : mais comment vais-je faire ? je réalise que le fait de ne pas parler ne nuit pas à mon quotidien, principalement axé sur l’écoute, l’écriture et la réflexion intérieure, mais qu’au contraire, le fait d’être aphone, est presque reposant et m’a conduit à une découverte. depuis deux jours je me sens portée par l’empathie et l’indulgence suscitées par mon état, on me parle doucement en me regardant droit dans les yeux, comme si je souffrais de surdité, on essaie de deviner mes besoins pour m’éviter d’avoir à les formuler, de mon coté je me sens plus calme et posée, moins bouillonnante et agitée, comme si je découvrais , les vertus de reporter au lendemain, le soulagement du lacher-prise. quand on ne peut rien comme un élément, à quoi bon s’épuiser à aller contre ? une jolie petite leçon de sagesse. 0 commentaires -- retour au bercail … 1 octobre, 2012, 12:46 classé dans : humeurs l’équilibre est si fragile qu’un simple imprévu peut le faire vaciller, la fameuse goutte d’eau qui fait déborder le vase, mais en fait c’est l’action regroupé d’un ensemble d’éléments isolés, qui conduit à la cascade. pour ma fille après un an d’autonomie, c’est boucle bouclée et retour au bercail … on peut dire que tout ne s’est pas passé comme elle l’espérait ou en rêvait . l’autonomie , n’est pas la liberté, elle a un prix à payer qu’elle a fini par trouver bien trop cher, au point de préférer faire marche arrière . en raison des circonstances même si nous avons éprouvé un vrai soulagement en prenant cette décision , il n’en est pas moins qu’elle soulève depuis, nombre d’ inquiétude et de remises en question . nous avons pris chacun de notre coté des habitudes d’indépendance qu’il va falloir réajuster . je suis inquiète à l’idée d’avoir à cohabiter avec la jeune adulte qu’elle est devenue pendant cette année loin de nous et j’imagine que l’inquiétude est réciproque . je me demande combien de temps le « provisoire » va durer ? comment elle va tirer profit de son, juste , besoin de se poser ? comment je vais aborder l’épineux sujet de l’effet boule de neige des problèmes rencontrés dans l’année ? comment mère et psy vont réussir à se compléter sans se monter sur les pieds ? 0 commentaires -- influence du choix d’un prénom 3 septembre, 2012, 10:05 classé dans : psy...tout court comment choisit-on un prénom ? et quelle influence ce choix peut-il avoir sur notre futur enfant en dehors de sa portée affective, familiale et sociale ? j’ai connu comme tout le monde des kevin qui sautaient partout, des alexandre acrobates, des guillaume …très actifs, des petits pierre dans la lune et des marie toutes douces, mais de là à tomber dans le piège des généralités ! … pourtant hier soir alors que j’évoquais la personnalité complexe de mon fils avec une amie, j’ai été bluffée par la lecture du portrait type en rapport avec son prénom, qu’elle m’a communiqué d’après découverte sur internet. comment peut-on établir un portrait aussi pointu de quelqu’un que l’on ne connaît pas, à partir de regroupements sur des personnes d’origines diverses portant le même prénom ? par curiosité, je me reportais au prénom de ma fille et là, j’éclate d